Quelques productions du premier jour :
Compte rendu du lundi 5 Mai à Saint-Julien
Nous sommes arrivés à Saint-Julien à 12h30.
Nous avons ensuite déchargé les valises, puis nous avons pique-niqué en groupe… devant une belle vue, sur les montagnes. Les profs nous ont ensuite répartis dans nos chambres. Nous avons eu un quart d’heure pour nous changer et découvrir nos chambres avant de faire une grande randonnée pour visiter Saint-Julien. Ont est allé jusqu'à une chapelle où on a eu en ‘’récompense’’ : un petit goûter avec une demie heure de répit. Ensuite nous sommes redescendus pour venir à la rencontre d’un fermier qui nous a amenés dans sa grange où il y avait des vaches et il nous a aussi expliqué le fonctionnement de la traite des vaches. On a eu la possibilité de traire des vaches nous même (les personnes qui se portaient volontaires pouvaient faire cette expérience, c’était une expérience inoubliable). Nous sommes allés voir les coqs, les lapins, et des colombes.
Pour finir, nous sommes retournés au centre où nous avons eu 20 minutes pour nous laver, nous préparer et descendre dîner au réfectoire. Et pour terminer de 20h00 à 22h00, on a fait deux heures de T.I pour pouvoir rédiger ce texte que vous êtes en ce moment en train de lire.
Cassandra Cabantous, 3CLEF
Le Bus
Nous sommes partis, soleil de face
Dans cette monstruosité métallique qui nous attendait
Elle a avalé nos humbles possessions dans son grotesque estomac.
On s’est laissé engloutir avec un sentiment d’obligation
Dans la bête.
Elle nous a forcé à nous ligoter, tout en nous plongeant dans l’ennui.
Quatre heures durant, ce fut long.
Toute tentative de sortie devint un rêve.
Enfin, elle nous recracha non sans exprimer un sentiment d’irritation.
Et nous voilà finalement seuls, perdus… mais en vie !
Bastien Alexandre 3Clef
Meuh-meuh
Au bord du sentier.
Nous les voyons, elles, recouvertes de petits parasites.
Elles nous observent, nous, passants, simples voyageurs, dans la contrée inconnue qu’est leur territoire.
Nous fixant de leurs gros yeux,
globuleux et ébahis, très imposants.
D’un air curieux, amusant à nos yeux, elles prennent leur repas.
Intriguées de notre présence en leurs lieux, elles meuglent pour nous signaler leur présence.
Et histoire de s’en faire des amis, nous les avons traites, de façon simple, rapide et des plus cordiales.
Nous les quittâmes, sans tourner le dos, leur laissant le souvenir de nos visages amusés pour aller voir,
Leurs chères colocataires plumés.
Lou Bougrand
3CLEF